(lisa) j'suis un grand voyageur, jouant la fille de l'air.

~ Origines : irlandaise-ukrainienne de par ma mère, américaine par mon père. ~ Lieu de naissance : Nashville, Tennessee. ~ Nombre d'enfants : aucun, pas pour le moment en tout cas, mais l'envie ne manque pas. ~ Situation amoureuse : mon cœur à la dérive. ~ Qualités : franche, optimiste, amusante, attachante, attentive, loyale. ~ Défauts : impulsive, fière, violente, brutale, détachée, quelque peu lunatique. ~ Finances : $$$

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I. WISTERIA LANE C'EST COMMENT ? inchangé, j'ai l'impression que ça ne bouge pas d'années en années. de l'animation il y en a dans ce quartier pourtant, mais j'y vis depuis quelques années, bien que j'ai été contrainte de quitter wisteria lane quelques temps... j'aime ce quartiers, les gens qui y résident, c'est chez moi ici, voilà tout.
II. TU AIMES LES FETES ENTRE VOISINS ? c'est drôle, oui, j'aime les festivités, quand on se roule tous sous la table, qu'on oublie nos inhibitions. ces fêtes sont souvent pleines de bons petits plats et de délicieux gâteaux, sans parler des potins. je ne suis pas une commère, mais j'admets que ça m'amuse d'écouter les ragots.
III. DECRIS TA MAISON ? la petite barrière blanche et les volets verts ont leur importance. il y a un préau qui surplombe les marches et la porte d'entrée, c'est là que je me tiens quand il pleut. l'arrière, la cour et tout ça, c'est exactement la même chose, un préau, quelques marches qui donnent sur le jardin. on a un kiosque en bois au milieu, et une piscine creusée, elle n'est pas très grande, mais elle est suffisante. quand on entre dans la maison il y a l'escalier qui donne à l'étage et le salon, séparé de la cuisine par un bar en bois blanc, c'est spacieux, simple et moderne à la fois, tout en restant dans cet espèce d'esprit cosy. il y a deux salles de bains et trois chambres, la mienne se trouve au rez de chaussée et est reliée à cette pièce par un dressing room, à l'étage, la chambre de ma soeur est mitoyenne à la salle et la troisième et dernière chambre se trouve tout au bout de l'escalier en haut. c'est ma maison ça... Un endroit simple et chaleureux.
V. TICS ET MANIES ? nerveuse de nature Lisa ne cesse de jouer avec ses doigt, quitte à se gratter à sang parfois △ consommatrice de cigarettes, il lui arrive de penser à la prochaine qu'elle allumera alors qu'elle en fume déjà une △ elle a un gros faible pour la tequila, c'est sa compagne de débauche, de galère également, disons qu'en cas de problème Lisa estime que San José est un excellent conseiller △ elle fait des gâteaux quand elle a du temps libre △ le dessin, la peinture, la musique et l'écriture sont des choses qui la détendent et l'aide à se sortir de ses problèmes △ c'est une excellent cavalière et a longtemps pratiquer l'équitation △ plus jeune elle rêvait de devenir propriétaire d'un haras et élever ses chevaux △ quelques problèmes personnels ont corrompus ses études et son avenir de vétérinaire △ c'est par chance qu'elle est devenue fleuriste, son responsable l'a prise en sympathie et depuis elle se plaît à faire de jolies compositions florales pour les clients.

war at the roses

Les cheveux au vent, au grand galop j'oubliais tout, mon mal être est apparu alors que j'étais très jeune. J'ai toujours eu l'impression de ne pas être assez bien, je vivais mal les comparaisons de Louise et moi que faisaient mes parents. J'ai toujours estimé que des parents ne devaient pas comparer leurs enfants, Louise était belle, elle se faisait accepter facilement et avait de bons résultats, je n'avais pas beaucoup d'amis, moi j'étais timide et mes résultats étaient moyens. Je m'en voulais d'être ce que j'étais, parfois je me disais même que le monde s'en porterait mieux sans moi. J'étais heureuse à Nashville, je me sentais comme un poisson dans l'eau au près des chevaux, dans le ranch de mes grands parents. Loin de ma famille, de ceux qui m'estimaient mal et me faisaient me sentir inutile et non désirée. J'avais 12 ans quand nos parents on décidé d'aller vivre en banlieue, à wisteria lane. Je n'ai pas bien vécu le changement de ''climat'' si je puis dire, et les choses sont allées de plus en plus mal. heureusement que Louise était là, au début. L'adolescence nous a séparées Louise et moi les jumelles, les inséparables qui même au delà de nos différences restions deux soeur fusionnelles. Nous avons emprunté deux chemins différents, j'ai commencé à fréquenter les mauvaises personnes, alors qu'elle restait la parfaite petite fille modèle et populaire, avec de bonnes notes, ne vous méprenez pas j'en ramenais aussi au début, jusqu'à ce que je comprenne que mes parents ne cesseraient jamais de me comparer à ma soeur, à partir de ce moment là j'ai sombré. Je me rendais à peine en cours, mais je fournissais des notes suffisantes pour passer l'année. J'ai commencé à boire, à m'éloigner de mon double, de ma famille et à faire n'importe quoi. Je consommais tout ce qui pouvait l'être, bon comme mauvais. Mes amis, ceux que je croyaient être de vrais amis m'ont tirée vers le bas et je n'ai rien fais pour les en empêcher. Je me suis laissée allée dans un oubli total de moi-même j'avais trouvée la liberté, perdre tout espoir, c'était cela la liberté. Puis je suis entrée à l'université, je me demande encore commet j'y suis arrivée, mais deux mois avant l'examen de fin d'année je faisais ma première overdose. J'ai été renvoyée de l'université et je disais adieu à mes études de vétérinaire, envoyée dans un centre de désintoxiction pour me faire oublier mon addiction. Loin de ma soeur qui n'a jamais daigné venir me voir. J'ai très mal vécu cette période de ma vie, les reproches de mes parents, l'absence de la personne qui comptait le plus pour moi. J'ai sombré d'avantage dans la dépression, dans un profond dégoût de moi. Je me suis remise en question un millier de fois, j'ai écris des lettres d'excuses à tout ceux que j'avais pu blesser au cours de la période durant laquelle je me droguais. La seule chose qui me semblait claire à ce moment-là était que je n'aurais jamais dû m'en sortir, j'aurais mieux fait de mourir, ne pas me réveiller afin de cesser d'être un fardeau pour ces gens qui m'entourent. Cesser d'être. Et je l'ai rencontré, à une de nos réunions de toxicomanes ''anonymes'' organisée par le centre dans lequel je me trouvais. Avec lui je me sentais vivante, je me sentais importante, j'avais envie de vivre. Il avait réussit à me ramener à la vie. Quand je suis sortie de là, mes parents étaient partis vivre ailleurs, offrant à ma soeur la maison dans laquelle nous vivons toutes les deux actuellement, je crois qu'ils se sont sentis cons et que c'est pour ça qu'ils l'on obligée à me laisser vivre avec elle. Dans un premier temps tout se passait bien, j'ai même renoué des liens avec Louise, des liens que je ne pensaient pas recréer pour tout vous dire. Elle sse comportait comme la soeur que j'ait toujours connue, celle qui prend soin de moi et qui veille à ce qui ne m'arrive rien. Elle voyait d'un mauvais oeil ma relation avec ce junky ''repenti'' et c'est ce qui a créer de nouvelles tensions entre nous, parce que j'étais persuadée qu'elle me jalousais, pour une fois dans ma vie j'existais, je sortais de ma coquille, j'évoluais et ... J'étais heureuse. Mais cette relation m'a détruite, elle continue de me détruire aujourd'hui. Après un an de sobriété je replongeais lentement, par sa faute, une petite dose par-ci, un joint par-là, une seringue et demi plus tard je reprenais le rythme que j'avais laissé. Ruptures, réconciliations, disputes, mensonges, tromperies et pardon. J'étais de nouveau sur des montagnes russes émotionnelles. Je me posais mille questions, et j'avais si mal que pour moi la drogue était le seul moyen de ne penser à rien. Je l'aimais, mais il me détruisait et par répercutions nuisait à ma relation avec Louise qui impuissante me voyait replonger dans la drogue. Je ne dis pas que cette fois elle n'a pas essayer de m'aider. Voyant que je n'étais pas réceptive à ses nombreuses mains tendues elle m'a jetée dehors, le soir même j'ai fais ma seconde overdose. Je suis officiellement décédée durant 2 minutes. J'ai passé près d'une semaine à l'hôpital, dans un service psychiatrique, et elle n'est pas venue. Personne n'est venu. J'ai quitté l'hôpital et j'ai filé pour Nashville, je me suis réfugiée chez mes grands parents, loin de tout, loin de mes démons, de Louise, de Lui. et je me suis sevrée ''à l'ancienne'' à coup de bain de glace et de nuits entières à vomir mes tripes, à me taper la tête contre les murs. Mes grands-parents ont insisté pour que je sois suivie psychologiquement, ce que ne m'enchantais pas, mais puisqu'il acceptaient de m'héberger, je n'ai émis aucune objections. Cachée, dans le plus grand des secrets par les seuls parents que j'ai réellement eu. Je me suis faite oubliée, le temps de toute recommencer, de me reprendre en main, de me ressourcer au près de mes chevaux. J'ai disparu de la surface de la terre, ne prenant pas la peine de répondre aux quelques coup de téléphone qu'avait tenté de me passer Louise. ''Je suis rentrée." j'ai soufflé dans un sourire, je l'ai regardée avec un soupçon de honte, et de malaise. Voilà comment après plus d'une année de ''disparition'' je rentrais à la maison. J'ai vu la surprise dans son regard, je savais qu'elle m'en voulais de ne pas avoir donné de mes nouvelles, je savais que j'aurais du chemin à parcourir avant que l'on ne retrouve une relation de sœurs, comme celle que nous avions enfants. Louise s'est écartée de l'encadrement de la porte et l'a poussé, s'écartant pour me laisser passer. Ma valise à roulette produisait d'affreux grincements désagréables que je n'entendais plus. J'étais tellement absorbée par l'idée de rentrer chez nous que j'arrivais à en faire abstraction. La maison n'avait pas changée, nos photos n'avaient pas bougées, j'avais l'impression de n'être jamais partie. j'étais sans doute la seule chose de la maison qui avait changée. J'oubliais même le temps d'un instant le malaise que je ressentais, trop heureuse de retrouver le quartier qui m'avait vue grandir. Elle refermait la porte derrière moi toujours dans le silence. J'étais enfin loin de mes parents, loin de Nashville, j'étais enfin rentrée à la maison.

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~ Avatar : emma stone. ~ Pseudo : applepie. ~ Âge : 22 ans. ~ Où as-tu connu PLK : bazzart m'a conduite jusqu'à vous. ~ Connexions : régulière. ~ Commentaire : je veux qu'on soit tous copains.