~ Origines : Sa mère était suédoise, et son père l'était également au passage. Donc suédoises, on imagine. ~ Lieu de naissance : Wisteria Lane. ~ Nombre d'enfants : Aucun. ~ Situation amoureuse : Célibataire, il essaye de détruire la fille qui l'attire parce que c'est mieux de paraître inaccessible et totalement connard pour avoir une nana. Attendez, ah bon ça se passe pas comme ça ? ~ Qualités : Travailleur, curieux, intelligent (trop d'ailleurs, des fois c'est casse pieds), très peu dragueur (c'est pour ça peut-être qu'il a jamais eu de copines), attentif, attentionné, franc (quand il ment pas). ~ Défauts : Fouineur, prêt à tout, menteur professionnel, trop calme, timide avec les filles (si, si c'est possible), imprudent, asocial, trop sarcastique. ~ Finances : $$
I. WISTERIA LANE C'EST COMMENT ? Complet, lourd, chiant. J'ai toujours eu envie de partir, j'ai jamais eu les moyens et j'ai toujours eu les parents sur le dos. « Je veux faire mes études en France », mais non Casey, reste donc dans cette ville de pommé entouré d'abrutis, t'auras l'impression de devenir con avec le temps tu verras. Ou alors tu seras trop intelligent, et les gens t'comprendront jamais. J'aime pas cette ville, mais j'ai pas de quoi me barrer, alors je bosse en faisant ce que je fais tout les jours : fouiner et mentir. Où est le problème ?
II. TU AIMES LES FETES ENTRE VOISINS ? J'ai pas de réponses à cette question. Non peut-être ? De base, soyons clairs : je n'aime pas les gens. Leur seul passe temps c'est de regarder les autres, d'se moquer et de rire sans savoir trop pourquoi, même un oiseau serait moins con et il a trois fois moins de matière grise. Alors non, j'aime pas les fêtes. Et puis j'aime pas rencontrer des personnes que j'reverrais deux fois ou trois dans la rue et qui penseront que je suis leur pote parce qu'on a "bu un verre ensemble chez le connard du troisième". Et puis c'est débile, j'ai jamais rien bu.
III. DECRIS TA MAISON ? Ma maison, c'est grand. C'est grand, mais c'est vide. En fait, c'est la maison de mon coloc'. Il s'appelle Devyn et il est pédé comme un phoque, mais ça c'est encore autre chose. Avant on vivait lui et moi avec mes parents, ils sont partis, et ceci est un euphémisme, depuis peu de temps. Lui et moi on sait que ça va pas tarder pour moi, mais on va essayer de rester ensemble dans cette grande maison vide un peu plus longtemps encore.
V. TICS ET MANIES ? J'en ai pas vraiment. Enfin sauf si on prend le fait de toujours regarder derrière les portes comme un tic, alors ouais j'en ai un. Quelques uns. Quand j'suis stressé j'ai l'habitude de me mordre les lèvres, quand j'suis vexé je mords mes stylos et je passe mon temps à remettre mes lunettes correctement. Ouais, trop la classe j'ai des lunettes vous avez vu ça ?
war at the rosesI - Where are you now ?«
Toujours là, à pleurer. Regarde toi, mon pauvre, tu deviens faible. » Cela faisait quelques heures qu'ils s'étaient fermés. La lumière avait disparue, et la lueur de vie de son corps s'était échappée. Il n'avait pas lutté, il n'avait pas pu. Et il était mort, bel et bien mort. Il avait joué avec sa vie et il avait perdu. Ou peut-être avait-il gagné ? Il n'avait pas même écouté les mots de son unique ami sous le lourd poids de la mort. Il avait tout de même perdu sur un point, il avait perdu la vie. Il avait perdu la seule chose qui le raccrochait à ce garçon, à son ami. Alors qu'il avait entendu cette voix, dans la noirceur de l'entre-monde, il avait relevé le visage. Ses larmes n'avaient pas séché sur ses joues, et alors même que son corps n'était plus qu'une âme, il ressentait encore ces sentiments. Il ne savait pas d'où venait ce son, cette voix qu'il connaissait pourtant très bien. Alors il s'était levé de ce sol sombre, il avait observé autour de lui sans même essuyer les larmes qui coulaient sur ses joues. «
Je ne suis pas faible ! » «
Tu crois que c'est parce que tu es mort que tu ne l'es plus ? » Il avait de nouveau entendu la même voix, cette même voix qu'il écoutait si souvent lorsqu'il était enfant, et il se souvint presque immédiatement. Il se souvint de tout. De toutes les voix qu'il avait pu entendre au courant d'une année, pendant ce court temps où il avait été proche de ses amis, ses réels amis. Et puis il avait refermé les yeux. Rien à faire, il ne pouvait pas s'arrêter de songer même alors que son cerveau ne fonctionnait plus. Et il avait fini par rouvrir les yeux, mais rien n'était semblable autour de lui à ce qu'il avait abandonné quelques secondes avant. Il se retrouvait là, aux alentours de Wisteria Lane. Dans son esprit, toutes sortes de choses apparaissaient. Lucidité, il était vivant et ce n'avait été qu'un rêve. Rêve éveillé peut-être ? Il avait l'habitude de sortir et d'aller dans ces endroits-là avec Isaac, quand ils étaient enfants. Enfants, oui, parce qu'il avait quinze ans maintenant, saviez vous. Ce n'était plus un enfant mais un adolescent, qui venait de perdre la personne qui était la plus chère à ses yeux en une fraction de seconde. Il n'avait pas comprit ce qu'il se passait, ce moment-là. Il était là et on le lui avait retiré, Isaac, son meilleur ami. Alors il marchait seul, la tête embrumée de pensée. Pourquoi ne pouvait-il pas se le sortir de la tête ? Alors il y pensait. Il voulait le voir, et il apparut. Sourire sur ses lèvres, les yeux pourtant glacials. Comment pouvait-il avoir deux expressions différentes ? Alors il avait hoché négativement la tête, lui même, et ses larmes s'étaient presque directement mises à couler sur ses joues. «
Non.. » Il avait reculé et il avait couru, comme si sa vie même en dépendait, et il lui avait foncé dedans. Il avait réapparut devant lui, comme ça d'un seul coup. Il avait chuté, peut-être trop brutalement au sol. Et Isaac lui avait tendu sa main ensanglanté, si bien qu'il avait relevé les yeux. Les larmes d'Isaac étaient de sang, ce qui portait à croire que ce n'était qu'un rêve, qu'un profond rêve. Et ça l'était, mais il n'en était pas conscient. Alors il s'était relevé et il avait de nouveau couru, regardant devant lui attentivement. Et finalement il s'était arrêté, et il s'était retourné. Il l'avait vu de nouveau, et il avait craqué. «
Tu peux pas être réel, t'es mort. » «
Je suis pas mort, qu'est-ce que tu racontes abruti ! » Il avait une sensation de déjà vécu, il l'avait déjà vécu réellement. «
On est venu faire la cueillette des fleurs pour que tu t'trouves une amoureuse. Ou un amoureux, j'oubliais que monsieur tourne gay. » «
Je suis pas gay. » Alors il avait haussé les sourcils, et Isaac avait sourit. Mais la seconde d'après, il avait vu ce métal lui transpercer le ventre, plusieurs fois. Le sang avait coulé de sa bouche, et il avait hurlé alors qu'Isaac était resté silencieux, le teint pâle, le sang rouge. Lorsqu'il avait hurlé, il s'était réveillé et il s'était immédiatement mis à pleurer. Il avait entendu la porte s'ouvrir, et une main chaude s'était posée sur son épaule : son père. Il reconnaissait son père à sa chaleur, toujours. Et à sa douceur également. Il avait sentit ses bras autour de lui, et il avait posé sa tête contre le torse de son paternel. Il était intérieurement complètement détruit, parce qu'il l'avait perdu. «
Chut, ça va Casey. C'était qu'un cauchemar.. » C'était ce qu'il lui répétait tout les soirs maintenant, depuis deux semaines. Non, il n'avait pas vu Isaac mourir, il aurait eu beaucoup plus de mal à tenir autrement. Il avait juste su ça d'une manière plus qu'horrible. Un simple accident de voiture pour lui l'avait conduit à l'hôpital, et il avait vu Isaac entrer sur un lit d'hôpital. Mauvais souvenir qu'il se remémorait pourtant à cet instant. Il avait vu Isaac sur ce lit, avec une assistance respiratoire et une vitesse impressionnante de course pour les médecins. Et il ne l'avait su que quelques heures plus tard, il avait perdu son meilleur ami. Il s'était fait assassiner, alors que très peu de gens le connaissait. Peu de gens pouvait lui en vouloir, et finalement il avait su que son assassin n'avait fait ça que pour le plaisir de tuer. Parce qu'il connaissait bien Isaac, Casey. Il le connaissait depuis plus de six ans. Isaac n'avait jamais été le garçon qui cherchait à se faire remarquer, mais plutôt celui qui restait dans son coin et qui plaisait beaucoup. Le contraire de Casey, qui voulait se faire remarquer, qui recherchait de l'attention mais qui n'en avait pas plus. Ils étaient à eux deux une paire incroyable, indescriptible. Et pourtant, ils avaient été brisés.
II - So I called this therapist, she said "Boy, you can't be fixed".«
Casey ! Ouvre les yeux putain d'abruti ! » Il avait relevé le regard, totalement relevé le regard vers lui. Il était assit sur le canapé en cuir noir, les résultats de ses examens dans les mains. Ce n'était qu'encore une mauvaise passe. Il en avait beaucoup en ce moment-là. Il passait son temps à suivre les histoires lourdes et chiantes de cette petite ville, oh et rien n'était très intéressant alors il inventait beaucoup de choses. Mais ce qu'il venait de lire là, ce n'était pour une fois pas fictif. Et il avait beaucoup de mal à le croire. Beaucoup trop de choses s'étaient passés dans sa vie depuis ses seize ans. Il avait rencontré Devyn, il lui avait fait penser à Isaac. Il était aussi doux, aussi câlin, il passait son temps à lui embrasser furtivement les lèvres, soûlante habitude. Il était gentil, il était calme, il n'était pas dans sa vie depuis le début et il lui permettait d'oublier Isaac, d'oublier ses cauchemars. Ses cauchemars avaient cessés, mais il n'arrêtait pas de se les remémorer pourtant. Cette lame ensanglantée qui transperçait les côtes de son meilleur ami n'avait pas disparu de sa mémoire, pas encore. Et aussi, il avait finalement décidé de devenir journaliste. Journaliste, ça avait été le rêve d'Isaac, il avait cette envie de détruire les personnes autour de lui comme on le détruisait. Parce qu'Isaac avait été détruit par tout le monde, et ils avaient détruit Casey également en lui retirant son meilleur ami. Son meurtrier était peut-être incarcéré, il prenait tout le monde pour coupable. Et en particulier un homme, assez âgé peut-être, qu'il avait faussement accusé de pédophilie dans un de ses articles. Il avait cette envie particulière de le détruire, de le faire souffrir comme il avait eu mal de perdre une personne qu'il avait pu aimer, lui-même. Non, ce n'était pas de sa faute à ce type, mais Casey en voulait au monde entier, et même à cette fille qu'il avait foutu dans l'histoire également. Même fille à qui il avait développé une foutue addiction, il avait la chance d'avoir ces photos, et il avait la chance de savoir suivre les gens discrètement. Addiction était trop faible même, c'était plus une obsession qu'autre chose. Et enfin, il était allé voir un médecin avec Devyn. Il avait beaucoup de mal à respirer depuis quelques temps, il toussait énormément et ça l'avait réellement inquiété qu'à l'instant où il avait finit par perdre du sang lorsqu'il toussait, et il venait seulement d'avoir les résultats. «
Casey s'il te plaît, écoute moi. » «
J'ai un cancer.. » «
Je sais, et moi je suis pédé, on a tout les deux quelque chose qui fait que quoi qu'on fasse on s'ra des rejetés de la société. Mais tu vas te soigner, t'en fais pas. Je te promet que ça va aller. » Devyn s'était posé devant lui, il avait posé ses coudes sur les genoux de Casey et il lui avait retiré la feuille des mains doucement. Il avait ressentit les bras du jeune homme autour de lui et il avait fermé les yeux, tout en posant sa tête contre son épaule. «
Je vais te chercher une couverture dans ta chambre, pour que tu dormes un peu. » Il avait hoché la tête, il ne cherchait pas à comprendre réellement pourquoi et puis il était fatigué, de toute façon. Il n'avait pas pensé pourtant à sa chambre, il refusait toujours catégoriquement que Devyn y entre. Et il se rappelait de pourquoi finalement, ce qui le fit se lever et aller jusqu'à sa chambre. Il observait alors Devyn qui y était, il regardait les photos qu'il avait imprimé. Elle était sur toutes, entourée en rouge et il avait inscrit à côté de chaque photos quelques adjectifs qui lui faisaient penser à elle. Sauvage, magnifique, désirable, c'est ce qui ressortait le plus souvent. «
Casey.. » Il avait baissé le regard en entendant son prénom, et il avait posé son regard sur la photo que Devyn avait prit dans ses mains, il y avait inscrit qu'il la voulait. Il l'aurait si vraiment il la voulait. «
Tu te rends compte de ce que tu fais ? C'est limite du stalking à ce niveau-là.. » Il s'était approché du garçon alors et avait tenté de récupérer la photo que Devyn tenait, mais il l'avait repoussé. «
Une personne normale agit pas comme ça ! » «
Rends-la moi. » Il avait regardé Devyn assez sérieusement, mais il l'avait pas écouté et il avait arraché le reste des photos du mur pour descendre ensuite les escaliers jusqu'au salon. Alors, Casey l'avait suivit en lui parlant d'un ton étrangement calme. «
Devyn, rends-moi ces photos tout de suite. » Il l'avait suivit, et il l'avait regardé les jeter dans le feu de la cheminée, ce qui l'avait fait grogner de colère. Devyn avait tourné son regard sur Casey qui s'était approché de lui pour le frapper. Il l'avait sentit venir, et Devyn avait attrapé ses poings et l'avait immobilisé au sol. «
T'es complètement dingue Casey, je pensais que c'était juste une particularité de ton travail, pour les mensonges que tu lâche tout les jours et pour la bizarrerie de tes actes mais t'es réellement taré, faut que tu te fasse soigner. Laisse moi t'aider, d'accord ? Je t.. Tiens à toi. » Il était resté au sol, ne répondant pas avant qu'il soit lâché par le garçon. Dans le fond il n'était pas dingue, il avait juste un second trouble depuis la perte d'Isaac. Il s'accrochait à quelqu'un qui pouvait facilement l'écorcher, développant de plus en plus une obsession pour cette personne. Trouble de l'attachement, et ça lui semblait pourtant normal tout ce qu'il pouvait faire.
~ Avatar : Dylan O'Brien.
~ Pseudo : Omega.
~ Âge : 16 ans ehe.
~ Où as-tu connu PLK : Par Bazzart.
~ Connexions : Normalement 4/7 en semaine de cours et 7/7 en vacances.
~ Commentaire : Je trouve juste le forum magnifique, et puis voilà quoi. J'aimerais savoir aussi si c'tait possible de me réserver Dylan ?
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Ne pas écouter Devyn.
bienvenue ici et courage pour le reste de ta fiche. 
