DANI › i tried carrying the weight of the world, but i only have two hands.

~ Origines : Américaines, aussi banal que cela puisse paraître. Peut-être que ça aurait été différent si j'avais eu du sang anglais, qui sait ? ~ Lieu de naissance : Fairview. Et même si je rêvais de plus rose, de plus grand, je dois admettre ne pas être déçue d'être née et d'avoir grandit ici. ~ Nombre d'enfants : Aucun pour le moment, malgré les fausses-couches et la grossesse ectopique, et c'est mieux ainsi... Beaucoup mieux. Mon corps devait sentir qu'il ne devait pas garder d'enfant... ~ Situation amoureuse : Mariée et c'est très compliqué. Trop compliqué, dirais-je... C'est un mariage forcé, j'ai été obligé. Eh oui, comme dans les années 50 ou 60, j'sais plus. ~ Qualités : Généreuse, agréable, fonceuse, déterminée, sensible, attentionnée, attentive, charmante, dragueuse, intelligente... ~ Défauts : Impulsive, hypocrite, mystérieuse et secrète, complexée, angoissée, lunatique, parfois compulsive, naïve... ~ Finances : $$$$

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I. WISTERIA LANE C'EST COMMENT ? C'est beau ? Non, à dire vrai, à mes yeux ce n'est plus qu'une ville complètement dénuée de sens. C'est peut-être parce que je ne suis pas heureuse, que j'aurais préféré rester à New York. Là-bas, j'étais vraiment, vraiment heureuse. J'étais moi-même, je ne devais rien à personne et je pouvais faire ce que je voulais... Ici, c'est bien différent. Je vis sous l'emprise de mon mari, sous celle de mes parents. Il n'y a rien de bon pour moi ici, c'est normal que j'ai envie de fuir, non ? Mais si on s'en tient au premier sens de la question, je pourrais vous dire que Wisteria Lane c'est un bel endroit où vivre en famille, où on pourrait facilement vivre heureux et longtemps pour le restant de nos jours. Prenez exemple sur mes parents. Ils s'y plaisent... Forcément, ce n'est pas si mal. Ce n'est pas pire qu'ailleurs, en fait.
II. TU AIMES LES FETES ENTRE VOISINS ? J'aime les fêtes en général. Celles entre voisins ne sont peut-être pas mon truc, mais depuis mon retour, j'ai dû m'y faire. Surtout que mon mari aime bien s'y montrer, faire bonne impression - tout comme mes parents, d'ailleurs... Alors forcément, je me prête au jeu, j'y vais. C'est souvent cinquante-cinquante. Soit je m'amuses vraiment, que je rencontre des gens qui me font oublié mon mal de vivre... Ou alors ça se passe mal et ça devient vite la catastrophe. Des gens saouls qui se disent des bêtises, un coup de poing qui part trop rapidement, une gueule en sang, certaines filles qui hurlent, d'autres qui pleurent... Enfin bref... Le principe des fêtes entre voisins peut être très bon, mais... personnellement, je n'y prendrai jamais goût.
III. DECRIS TA MAISON ? Je vis dans le quartier plus riche de la ville. Mon mari et moi possédons une très grande maison de ville. Elle a trois étages, comptant le sous-sol complètement aménagé. La cuisine et le salon sont à air ouverte, c'est très grand et très lumineux - beaucoup de fenêtres. Les chambres sont grandes, bien aménagées. C'est chaleureux, les couleurs sont neutres, plutôt terres. La décoration est moderne, mais de style rustique... De très bon goût. Nous avons une grande cour arrière. L'été, on y fait un jardin, on aménage un coin repas avec une belle table, des chaises et des petits sofas... C'est une maison de poupée, très belle et très grande. Et pourtant je la trouve immonde...
V. TICS ET MANIES ? Lorsque je suis nerveuse, je me mords le dedans des joues jusqu'à ce que j'en saigne. Je passe toujours ma main dans mes cheveux, lorsqu'ils sont détachés. Quand je sors de chez moi, je vérifie toujours dans mon sac à main si j'ai un stylo, quelques bouts de papier, mes clefs, mon téléphone et mon chargeur. Je suis une acheteuse compulsive, j'ai un grand walk-in pleins de vêtements. Que je ne porte qu'une fois ou deux maximum. J'ai peur du noir, je dors avec une petite veilleuse. Mon mari me trouve idiote. C'est juste que dans le noir, tout est possible... Et ça m'effraie. Je suis une personne très polie, trop polie. Ça en devient presque malaisant. Je fais une collection de souliers à talon. Je m'épile les jambes et les aisselles à tout les jours... Je chante sous la douche et dans ma voiture. Mon côté droit est mon plus beau profil, je refuse de me faire photographié du côté gauche... Et bien plus encore, mais ça vous le découvrirez en temps et lieu...

war at the roses
Née le 10 novembre 1988, à Fairview ¶ Sa mère Astrid a toujours vécut à Fairview, quant à son père, James, il a grandit à New York et est arrivé à Fairview à ses dix-sept ans... ¶ Ils sont tous les deux de très grands avocats de la place, ce qui fait qu'ils n'ont jamais aucun soucis à se faire niveau dépenses et revenues ¶ Danielle est le premier enfant et le seul que la famille Newton-Rayner ait pu avoir. Les problèmes de fertilité de son père ont été un peu dérangeant ¶ La petite blonde allait donc être chouchoutée par ses deux parents ¶ Comme de fait, à ses quatre ans, Danielle fut inscrite à des cours de danse, de piano et de théâtre. Même si elle n'était pas vraiment chaude à cette idée, elle accepta pour faire plaisir à sa maman ¶ À ses cinq ans, elle intègra les rangs de la meilleure école privée qui existait au pays. Les frais sont payés d'avance, grâce aux énormes économies que ses parents avaient fait depuis toutes ses années à attendre l'enfant prodige ¶ Newton n'est pas très douée à l'école, à cette époque, mais elle n'abandonne pas : ses parents sont derrière elle et lui offrent tout les cours particuliers qui pourraient être susceptible de l'aide à mieux avancer ¶ Les années passèrent et se ressemblèrent toutes. Dani atteint ses dix ans et déjà, elle a un compte en banque presque pleins, des notes pratiquement parfaite et un statut social plus élevé que la moyenne. Ses parents font tout pour qu'elle soit à la hauteur ¶ Le lycée arriva à grand pas et c'est avec une mention spéciale qu'elle entra au collège privé de la ville. Ses parents sont si fiers d'elle ! ¶ À quinze ans, la jeune blonde commença à comprendre qu'elle avait toujours vécut dans l'ombre de ses parents. Elle a toujours tout fait pour que ses parents soient heureux. Elle a même compromis ses propres désirs et ses envies personnelles ¶ Un soir, elle s'installa au salon avec ses parents. Elle leur parla de ses rêves et de ses ambitions. Elle mit les cartes sur table : elle ne ferait pas d'études de droits, mais elle ne lâcherait pas les études pour autant. Elle promit alors d'offrir un bulletin plus que parfait si ses parents lui permettaient d'accéder aux études de théâtre qu'elle rêvait de faire depuis quelques mois déjà. Avec hésitation, ils acceptèrent, mettant tout de même leurs conditions ¶ Dani entra donc dans la troupe de théâtre du lycée. Elle fit aussi partie du comité d'organisation et du conseil de l'école. Elle se fit de nouveaux amis et, involontairement, devient la tête d'affiche de l'école, le nouveau modèle pour beaucoup d'entre eux ¶ À la remise des diplômes, ses parents étaient présents. Ils ne sont pas très heureux d'apprendre qu'elle ira à l'université de New York alors qu'ils avaient des projets plus grandioses pour elle. C'était un accord et ils le respectèrent néanmoins ¶ À 20 ans, alors que la belle poursuit ses études avec brio, ses parents reviennent toquer à sa porte – porte d'appartement luxueux, dans l'Upper East Side de New York – pour lui faire part d'un marché. Comme Danielle n'a pas de fréquentation et qu'elle n'est visiblement pas sur le point d'en avoir une, ses parents la case avec le fils d'un couple d'amis. Riche, lui aussi. Il est surtout plus vieux qu'elle... Elle ne peut pas refuser, par contre... ¶ À 23 ans, ils se fiancent contre son gré. Ça a quand même pris trois ans avant que cela n'arrive... Newton-Rayner avait insisté pour attendre jusqu'à l'obtention de son diplôme de théâtre. C'était maintenant chose faite. Son fiancé lui promettait les plus beaux cadeaux du monde : argent, pouvoir, luxe. Tout ce qu'une fille pouvait rêver. N'importe quelle fille en rêverait... Mais pas Dani ¶ Elle retourna habiter à Fairview avec son nouveau mari à 24 ans et dû malheureusement faire une croix sur son rêve du moment : se trouver un agent pour lancer sa carrière d'actrice. ¶ Toutefois, elle utilisa son mari pour lui permettre d'obtenir ce qu'elle souhaitait depuis son entrée à l'université : des contrats dans des publicités ou des films à petits budgets, histoire de se faire connaître. Entre temps, elle gagna même un agent. ¶ Danielle Newton-Rayner commença donc à avoir cette renommée qu'elle désirait tant et que personne ne pourrait lui enlever. Son talent, il lui appartenait. À elle et à personne d'autre. ¶  À l'aube de ses vingt-sept ans, la blondinette se rend bien compte que les choses ne peuvent plus durer ainsi. Elle ne peut plus vivre comme ça, aux côtés d'un homme qu'elle n'aime pas. Elle veut vivre sa vie, son indépendance. Elle veut se décrocher de l'emprise de ses parents, voler de ses propres ailes et voir où ça l'a mène.

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~ Avatar : blake lively. ~ Pseudo : charney. ~ Âge : vingt-quatre ans. ~ Où as-tu connu PLK : sur bazzart. ~ Connexions : soirs et weekends. ~ Commentaire : PLK, ça me fait penser à PFK (ou KFC...) Ça y est, j'ai faim !